Juridique

Provocation française à Jérusalem, qu’en dit le Droit international

Par Maitre Michel CALVO Suite à la énième provocation de la diplomatie française contre la souveraineté israélienne sur la capitale éternelle du peuple juif, qu’en dit le Droit international ? La diplomatie française considère que Jérusalem Est et Ouest ne sont pas sous souveraineté israélienne. A ce égard, les concessions (capitulations) de l’empire ottoman octroyées à la France à Jérusalem durant les siècles précédents, la diplomatie française estime qu’elles constituent

50 décisions de la Haute cour de justice

50 ingérences de la Haute cour de justice Une échantillon de 50 décisions de la Haute cour de justice reflétant l’idéologie des juges en Israël et constituant une ingérence caractérisée dans la politique du Gouvernement élu et dans le travail législatif de la Knesset. De surcroit, avec une série de décisions plutôt indulgentes envers des condamnés liés aux organisations terroristes et du Hamas en particulier, on ne peut échapper à

La cour suprême d’Israël, la nounou du Hamas

Par Kalman Libskind, paru dans Maariv le 27/10/2023 Traduit de l’hébreu par Meïr Ben Hayoun Dans cette revue non exhaustive de verdicts à l’encontre de condamnés du Hamas, le journaliste Kalman Libskind du quotidien Maariv prouve sans aucune ambiguïté que la Cour suprême d’Israël est coresponsable majeure à l’atmosphère de sous-estimation et de négligence gravissimes vis-à-vis du terrorisme nazislamiste qui a perpétué les horreurs innommables du 7 octobre 2023. Jusqu’à

La Junte aux abois (deuxième partie)

Par Jean-Pierre LLEDO Agissant ou laissant faire, la malfaisance des Juges. Cinq exemples récents.  1 – Peine de mort pour les terroristes. En réaction à la recrudescence du terrorisme falestinien qui désormais se pratique à l’arme à feu, et qui en un mois a déjà fait une vingtaine de morts parmi les civils, le ministre de la Sécurité nationale Itamar Ben-Gvir a appelé de ses vœux une loi visant à

Les grands frères du militaire Elor Azaria

Par Meïr Ben-Hayoun Elor Azaria est le militaire inculpé pour avoir tiré sur un terroriste blessé à terre. Des affaires d’exécution de terroristes neutralisés ont déjà eu lieu, notamment l’Affaire de l’autobus 300 en 1984. Comment cela s’est-il passé alors? Le 12 avril 1984, quatre Arabes de la Bande de Gaza prirent en otages les passagers de l’autobus de la ligne 300 faisant la liaison entre Tel-Aviv et Ashkelon. Ils étaient

La Cour suprême fait de l’obstruction à la lutte contre le terrorisme

Le Juge Ouzi Fogelman de la Cour suprême, a ordonné de suspendre les ordres de démolitions d’assassins arabes de la vague de terrorisme actuelle. On parle d’obstruction juridique à la lutte contre le terrorisme. Le Juge Ouzi Fogelman de la Cour suprême a émis aujourd’hui, jeudi 22 octobre, des arrêts de suspension temporaire  pour une série de recours déposés par parents de terroristes s’opposant aux ordres de démolition des demeures

La non-condamnation à mort de terroristes

Par Haggaï Segal, traduction de l’hébreu par Méir Ben-Hayoun  La peine de mort pour les terroristes est toujours prévue par le code pénal israélien. Haggaï Segal de Makor Rishon nous invite à un tour d’horizon de la non-application de la peine de mort aux terroristes dans l’histoire moderne d’Israël ; comment presque toujours, les assassins ont été libérés sans que les peines sévères de prison à perpétuité ne soient réellement appliquées.