Opinions

Gilles KEPEL, expert?

Monsieur Gilles KEPEL Mon nom est Meïr BEN HAYOUN, de Jérusalem, Israélien originaire de France depuis 45 ans, journaliste de mon état. Militant sioniste, je suis le représentant francophone du parti Otzma yehoudit dont le chef de file est le ministre de la sécurité interne, Itamar BEN GVIR. Cela fait des années que je vous écoute avec beaucoup d’intérêt, précisément depuis les remous du 11 septembre 2001. Vos interventions sur l’univers

Flagrant délit de désinformation

              Par Meir Ben-Hayoun Après avoir assuré le rôle chaotique de désinformation dans les colonnes du journal l’Humanité ou sur France culture et France Inter. Surfant sur la réprobation morbide d’Israël dans ces médias tout en se donnant des airs de bienveillance de ramener Israël à de meilleures résolutions. Désormais Denis Charbit le fait à l’antenne de radios juives. L’animateur de Radio J, Shlomo Malka,

Monsieur le Président du CRIF, et Hawara alors ?

  Jonathan ARFI, vous avez raté une occasion rêvée d’assumer avec honneur juif votre statut de Président du CRIF.   En effet hier soir dimanche 19 mars à Paris, a eu lieu une soirée en l’honneur du défunt Jacques Kupfer, zal, le dirigeant du Bétar, grande figure du sionisme de France, accessoirement ancien membre du bureau du CRIF. Cinquante-quatre organisations antisémites de soutien à l’ennemi dit “palestinien” avaient menacé et

Qui est “Suprémaciste” ?

Par Jean-Pierre Lledo, source A propos de l’Emission à France Culture avec Denis Charbit Récemment, tandis que le Hamas envoyait sa 4000ième roquette sur la population israélienne, principalement du Sud, et qu’à l’intérieur d’Israël, un mouvement pogromiste savamment orchestré par les militants des partis arabes nationaliste, islamiste et communiste, tous unis par la sainte cause de la chasse au Juif aux cris de Itbah Yahoud ! (Egorgez le Juif !), Denis Charbit,

VEL D’HIV : LE JOUR OÙ ROBERT BADINTER A EU “HONTE” D’ÊTRE JUIF

Par Pierre Lurçat Avec l’autorisation de l’auteur: source Robert Badinter fait beaucoup parler de lui ces temps-ci. Il a récemment publié un livre très remarqué sur sa grand-mère, Idiss. Et il vient de lancer un “cri de colère” contre l’antisémitisme. Avec une vitalité peu ordinaire, à 91 ans, M. Badinter découvre – mieux vaut tard que jamais – la réalité de l’antisémitisme en France. Mais ce cri tardif m’a remémoré

Les apprentis sorciers de la coexistence

Par Yéochoua Sultan Qu’arrive-t-il donc au célèbre «hebdomadaire israélien des francophones», pour ne pas le nommer? Comment peut-il poser sur sa première de couverture une question aussi peu crédible au regard de la réalité sur le terrain? Pour ceux qui ne l’auraient pas vue, on peut lire en haut de page : «Arabes et Juifs : une coexistence possible?» Admettons que le titre comporte tout de même un point d’interrogation,

Si je t’oublie Jérusalem

Dans le flot des réactions à la déclaration du Président Donald Trump sur Jérusalem capitale de l’Etat d’Israel, il est primordial de comprendre pourquoi on ne peut pas accepter les propos voulant céder sur une partie quelconque de Jérusalem à l’ennemi arabe dit “palestinien” et d’en saisir le caractère délictueux. Ces approches ne sauraient se voir accorder la dignité “d’opinions”. Nous avons retenu les interventions de Frédéric Encel, Dominique Moïsi

Aie pitié de tes ennemis et mets tes frères en danger de mort

  Par Meïr Ben-Hayoun A Tel-Aviv il y a quelques jours, des demeurés ont manifesté pour la Syrie ensanglantée. Ils ont ramassé 1/2 million de shekels (?!) pour les “pauvres enfants syriens”. Le prétexte de l’image idolâtrée de l’enfant martyre servant d’alibi pour les fausse pitié et fausse piété paralysant toute capacité de jugement et de réflexion. Cette propension à se forcer à ressentir de la pitié pour les Syriens alors

Des questions à BHL

Par le docteur Martin Sherman Paru dans le Jérusalem Post le 17 décembre 2015 Traduit en français par Jean-Pierre Bensimon (source) Bernard Henri Lévy fait partie des sujets que la diplomatie israélienne devrait prendre en charge. Ce serait beaucoup plus judicieux que de s’intéresser à tel ou tel homme politique en exercice, surtout hors des États-Unis.”“Vous combattez le djihad, oui. Mais n’avez-vous pas greffé sur le combat contre le djihad,

Eux là-bas, et nous ici

Une bonne fois pour toute, le problème ne consiste pas à parvenir à un compromis, comme si nous faisions des gestes en faveur des Arabes et que s’ils faisaient des gestes en notre faveur, le problème sera solutionné. Par Baroukh Marzel, traduit pas Meïr Ben-Hayoun Vingt-cinq ans, c’est toute une génération, une période suffisamment longue pour avoir de la perspective et observer les transitions profondes intervenues durant ces années. En