Culture

Zemmmour s’est planté

  Eric Zemmour s’est aventuré sur une planche savonneuse pour disqualifier les tentatives actuelles qui pour déprécier la Nation française invoquent le souvenir de Vichy.  On comprend sa motivation, mais il a dérapé en faisant plusieurs tonneaux.   Sans vouloir pour autant réhabiliter Vichy, Zemmour a voulu montrer que les choses sont bien pls complexes et que ce régime a préféré les citoyens français juifs par rapport aux Juifs étrangers. Effectivement,

L’apport essentiel de Jabotinsky au sionisme

par Pierre I. Lurçat Dans les dernières pages de sa monumentale biographie de Jabotinsky, Shmuel Katz relate le refus obstiné de David Ben Gourion de respecter les dernières volontés du dirigeant sioniste révisionniste, qui avait souhaité que sa dépouille mortelle soit transférée en Israël, une fois que l’État juif aura vu le jour. « Israël a besoin de Juifs vivants, pas de Juifs morts », explique le Premier ministre aux nombreuses personnalités

Peut-on parler avec Amos Oz ?

 Par Meïr Ben-Hayoun Lors d’une émission radiophonique, Itamar Ben Gvir et le docteur Michael Ben Ari ont essayé d’avoir une explication au téléphone en direct avec l’écrivain Amos Oz.  Récemment, lors d’une soirée au théâtre Tsavta à Tel Aviv, le célèbre écrivain Amos Oz a qualifié les jeunes des collines de Judée-Samarie de « néo nazis hébreux ». Vendredi 16 mai à 11h00, sur l’antenne de la station Galei Israël, Itamar Ben Gvir

Les Arabes aussi ont leur histoire de la Shoah

Paru dans Makor Rishon le 25/04/2014 Par Yossi Dagan, Traduit par Meir Ben-Hayoun Dès la montée d’Hitler au pouvoir en 1933, le Mufti Hadj Amin El Husseini, fondateur du « Mouvement national arabe », s’est rendu chez le nouveau Consul d’Allemagne à Jérusalem. Lors de cette visite de « courtoisie », le Mufti a été la première personnalité à féliciter le Consul, et à l’informer que les musulmans de la Terre d’Israël et d’en

Cinéma : Assaut sur une ambassade US par des islamistes

Par Méir Ben-Hayoun L’assassinat de l’Ambassadeur des Etats-Unis à Benghazi ne peut pas ne pas rappeler un film prémonitoire réalisé il y a douze ans. Il s’agit de « l’enfer du devoir » (Rules of engagement)  réalisé par le célèbre metteur en scène William Friedkin (French Connection, l’exorciste) avec Samuel L. Jackson et Tommy Lee Jones. Une fois n’est pas coutume, nous allons parler cinéma sans toutefois déroger de notre mission d’informer