Aujourd’hui, jeudi 25 juin, un Juif a été massacré par des Arabes dans sa vigne qu’il entretenait dans le moshav Pedayah près de Rehovot en plein centre du pays.
Un Juif retrouvé battu à coups d’objets pointus par des résidents arabes dit « palestiniens ». Le Maguen David Adom l’a secouru et transporté à l’hôpital où il a succombé à ses blessures.
Il s’agit de David Bar Capra, 70 ans, que Dieu venge son sang. Des résidents arabes de Judée Samarie en séjour illégal ont été attrapés et les Sherlok holmes de la police israélienne se posent la question sur le motif de ce crime, s’il s’agit d’un meurtre crapuleux ou d’un assassinat à caractère terroriste arabe. La réponse est pourtant simple, c’est un meurtre crapuleux et terroriste !!!!!!
Alors que si cela s’était passé dans une banlieue parisienne qu’un Juif de 70 ans se fasse assassiner à coups d’objets pointus par des Arabes, toute la presse serait en effervescence et le Premier ministre Netanyahou ferait tout pour joindre d’urgence le Président Hollande et soutenir la Communauté juive de France. L’émoi serait à son comble des deux côtés de la Méditerranée. Tout serait mis en branle pour organiser un méga enterrement au cimetière de Givat Shaoul à Jérusalem comme pour les victimes de l’hypercasher ou de Toulouse.
On en parle peu et demain, tout sera oublié, sauf pour la famille en deuil. Quand la police publiera ses conclusions, personne ne se souviendra même plus du nom de David Bar Capra et de ce qui s’est passé. La banalité des attentats terroristes arabes dans nos contrées !!!
Vous en doutez ? Quelqu’un se souvient-il du meurtre de Dani Gonen, 25 ans, assassiné par des terroristes arabes près de Dolev, vendredi 19 juin, il y a moins d’une semaine ? Première victime expiatoire du Ramadan: oui, on s’en souvient, mais un peu.
Meïr Ben-Hayoun
Tant que les rats de palais, (tordus constituant la Michpate Elione), interdiront l’application du principe “Pas d’arabes – pas d’attentats”, et tant que les déchets nazislamistes seront simplement arrêtés et non pas exécutés sur le champ, ces tragédies continueront.