Opinions
Décidément lemire[i], les Juifs résolus à construire 3000 logements sur une zone désertique entre Jérusalem et Ma’aleh Adoumim[ii], et vous êtes le seul à sonner du tocsin ?! Les Juifs menant la guerre la plus longue de leur histoire contre le djihad abominable sur sept fronts, les Juifs démantelant l’arsenal de missiles balistiques ainsi que le programme nucléaire iraniens, cela vous plonge dans l’hystérie la plus totale ?! Israël qui réussit
Suite au débat choc entre Pierre Lurçat et Alain Finkielkraut animé par Antoine Mercier et diffusé sur Youtube, Elie B. Duran a publié ce texte brillant. Ayant jusque là de l’estime pour sa lucidité intellectuelle, Elie exprime sa déception face aux prises de positions de Finkielkraut depuis le début de la Guerre. Le fils d’Elie, Yossef Avner Duran Hy’d, combattant des commandos marins, est tombé dans la Bande de Gaza
Il y en a marre de leur expliquer qu’il n’y a point l’ombre d’un génocide. Mobiliser les articles et alinéas du droit international pour la démonstration, ils n’en ont que guigne. Argumenter qu’Israël ne massacre pas de civils, ne commet pas de crime de guerre, que les nazislamistes se cachent derrière femmes et enfants et ont édifié leurs quartiers généraux et entrepôts d’armes dans des hôpitaux, dans des écoles et
Discours prononcé en plénière de la Knesset par le député du parti Kach, le Rav Meïr Kahana, le 13 du mois d’Adar 5748 (02/03/1988). Traduit de l’hébreu par Meir Ben Hayoun Dans le contexte actuel de Guerre totale contre l’islam dans la Bande de Gaza et au Nord d’Israël et de la crise politique d’insurrection permanente de presque guerre civile, ce diagnostic reste actuel plus que jamais. MBH Proposition à
Par le docteur Michael Ben Ari[i] Traduction de l’hébreu par Meir Ben Hayoun Cet article est la traduction française d’un passage du livre que vient de publier le docteur Ben Ari, חזון ופגיון, “l’idéal et la dague”, une étude monumentale sur l’islam et le Djihad à laquelle son auteur a consacré quatre années et qui, quelle coincidence, a été achevée lors des premiers mois suivant le 07 octobre. Les évènements
Monsieur Gilles KEPEL Mon nom est Meïr BEN HAYOUN, de Jérusalem, Israélien originaire de France depuis 45 ans, journaliste de mon état. Militant sioniste, je suis le représentant francophone du parti Otzma yehoudit dont le chef de file est le ministre de la sécurité interne, Itamar BEN GVIR. Cela fait des années que je vous écoute avec beaucoup d’intérêt, précisément depuis les remous du 11 septembre 2001. Vos interventions sur l’univers
Par Meir Ben-Hayoun Après avoir assuré le rôle chaotique de désinformation dans les colonnes du journal l’Humanité ou sur France culture et France Inter. Surfant sur la réprobation morbide d’Israël dans ces médias tout en se donnant des airs de bienveillance de ramener Israël à de meilleures résolutions. Désormais Denis Charbit le fait à l’antenne de radios juives. L’animateur de Radio J, Shlomo Malka,
Jonathan ARFI, vous avez raté une occasion rêvée d’assumer avec honneur juif votre statut de Président du CRIF. En effet, hier soir dimanche 19 mars à Paris, a eu lieu une soirée en l’honneur du défunt Jacques Kupfer, zal, le dirigeant du Bétar, grande figure du sionisme de France, accessoirement ancien membre du bureau du CRIF. Cinquante-quatre organisations antisémites de soutien à l’ennemi dit “palestinien”
Par Jean-Pierre Lledo, source A propos de l’Emission à France Culture avec Denis Charbit Récemment, tandis que le Hamas envoyait sa 4000ième roquette sur la population israélienne, principalement du Sud, et qu’à l’intérieur d’Israël, un mouvement pogromiste savamment orchestré par les militants des partis arabes nationaliste, islamiste et communiste, tous unis par la sainte cause de la chasse au Juif aux cris de Itbah Yahoud ! (Egorgez le Juif !), Denis Charbit,
Par Pierre Lurçat Avec l’autorisation de l’auteur: source Robert Badinter fait beaucoup parler de lui ces temps-ci. Il a récemment publié un livre très remarqué sur sa grand-mère, Idiss. Et il vient de lancer un “cri de colère” contre l’antisémitisme. Avec une vitalité peu ordinaire, à 91 ans, M. Badinter découvre – mieux vaut tard que jamais – la réalité de l’antisémitisme en France. Mais ce cri tardif m’a remémoré