%d7%a0%d7%a8-%d7%a0%d7%a9%d7%9e%d7%94

Source: Aroutz7

 

La communauté des hommes divorcés est en colère après le suicide d’un des leurs dans le Nord d’Israël, père de quatre enfants. “Il a été maltraité par le système” témoignent ses voisins.

 La communauté des hommes divorcés est en colère après le suicide d’un des leurs, jeune divorcé dans la trentaine, résidant du Nord d’Israël.

Dans le groupe Facebook, “A. c’est papa”, un des voisins du jeune défunt a écrit qu’il s’agit d’un père de quatre enfants qui a souffert de persécutions de la part du système: des plaintes abusives à la police et d’injonctions d’interdiction diverses et injustifiées.

%d7%94%d7%aa%d7%90%d7%91%d7%93%d7%95%d7%aa-%d7%92%d7%91%d7%a8%d7%99%d7%9d

“Ça fait mal au cœur” a ajouté le voisin. “Encore un que personne ne remarquera et qui s’ajoute à la statistique. Mon voisin était un homme pratiquant. On ne le trouve pas sur Facebook. Il était transparent. Je vous en prie: ne l’oubliez pas, ni les milliers d’autres avant lui qui n’ont pas survécu”

On estime le nombre d’hommes divorcés ou en procédure de divorce qui se suicident au minimum d’une centaine par année. C’est proportionnellement à leur nombre en Israël le taux le plus fort de suicides d’hommes divorcés dans le monde occidental. Les hommes passés par là racontent les maltraitances infinies du système, les arrestations abusives, les injonctions d’éloignement de la maison et des enfants émises automatiquement par les juges pour qui défendre la femme et l’intérêt de l’enfant les autorise à broyer l’homme. De plus, comment on aliène les enfants de leur papa dans le cadre de “centres de visites” les pensions alimentaires qui parfois dépassent leurs salaires avec des conséquences graves comme banqueroute et interdit bancaire et parfois, licenciement et chômage chronique pour des hommes qui étaient normatifs et productifs. Et ensuite, pour couronner le tout, les enfermements pour un oui pour un non quand ils ne parviennent plus à payer les dettes à leur ex ou à la saisie qui les traque. Pris dans ce traquenard qui se transforme en cercle infernal d’où ils ne sortent plus pendant des années, certains décident de disparaitre dans la clandestinité ou alors, Dieu préserve, d’en finir.

La puissance de l’extrémisme du lobby féministe exerçant une telle intimidation dans les médias leur ferme hermétiquement la possibilité de faire entendre leurs doléances de sorte que même l’issue de protester leur est obstruée.

La rubrique “le combat pour la famille” d’Aroutz7 est en fait leur seul recours médiatique pour faire connaitre leur condition.

Il est très difficile de connaitre le chiffre exact de ces suicides surtout que les autorités ne coopèrent pas pour établir une statistique. Un article du site Mahlaka Rishona a avancé le chiffre de 150 suicides et consécutivement de 400 orphelins par an (?!) La terreur du fanatisme féministe est si intense que les corps d’Etat comme la police, les députés, le Bureau central de statistique, qui devraient en informer et initier un débat public sur la gravité de cette situation préfèrent ne pas toucher à ce sujet épineux.

Les dirigeants et militantes du genre refusent même de reconnaitre que ce phénomène du suicide des pères divorcés existe et font tout pour tourner en dérision ceux qui le soulèvent. Au demeurant, Madame Ronit LEV-ARI, ancienne Conseillère du Premier ministre Netanyahou à la condition féminine, ne nie pas que ce phénomène existe. Elle a déclaré triomphalement à la Knesset que le suicide de divorcés serait une forme de brutalité attestant de la violence inhérente par nature à la condition masculine.