Uncategorized
Par Frédéric Sroussi Selon le Washington Post – daté du 11 mai dernier qui cite des sources officielles américaines – l’Administration Biden aurait “offert” à Israël son aide afin de trouver le lieu où se cachent les chefs terroristes du Hamas, Yahia Sinwar et Mohamed Deif (cerveaux des massacres génocidaires du 7 octobre) et à repérer la plupart des tunnels creusés par les djihadistes. La proposition américaine comporte cependant une condition :
Par Meïr BEN HAYOUN Où se terrent les universitaires juifs? Comme des étudiants et lycéens en mal de “justice et d’idéal”, 394 membres de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales à Paris appellent à un cessez-le-feu dans la Bande de Gaza. Ne nous trompons pas. Leur souci n’est évidemment pas d’épargner les Israéliens. Ils ne sont pas stupides au point d’ignorer que la finalité d’un tel cessez-le-feu consisterait à
Source: Mida Par Motti Ohana, traduit de l’hébreu par Meïr Ben-Hayoun Il y a une organisation en Israël qui ne rend jamais de compte, qu’on ne tient responsable d’aucun échec et qui s’esquive à tout contrôle public. “Ils nous ont trahis” dira du Shabak le défunt juge Moshé Landoy[i], ex président de la cour suprême, nommé pour examiner les procédures de pressions physiques sur des terroristes. Dans une interview à
50 ingérences de la Haute cour de justice Une échantillon de 50 décisions de la Haute cour de justice reflétant l’idéologie des juges en Israël et constituant une ingérence caractérisée dans la politique du Gouvernement élu et dans le travail législatif de la Knesset. De surcroit, avec une série de décisions plutôt indulgentes envers des condamnés liés aux organisations terroristes et du Hamas en particulier, on ne peut échapper à
Par Kalman Libskind, paru dans Maariv le 27/10/2023 Traduit de l’hébreu par Meïr Ben Hayoun Dans cette revue non exhaustive de verdicts à l’encontre de condamnés du Hamas, le journaliste Kalman Libskind du quotidien Maariv prouve sans aucune ambiguïté que la Cour suprême d’Israël est coresponsable majeure à l’atmosphère de sous-estimation et de négligence gravissimes vis-à-vis du terrorisme nazislamiste qui a perpétué les horreurs innommables du 7 octobre 2023. Jusqu’à
Par Meir Ben-Hayoun la situation que nous vivons est on ne peut plus simple et claire. Nous assistons à un véritable coup d’Etat planifié depuis plusieurs années et dont l’objectif est de faire tomber la droite plébiscitée par la majorité des citoyens d’Israël. Ce coup d’Etat a débuté par une vaste machination judiciaire de fausses accusations contre le Premier ministre Netanyahou et par l’exploitation de transfuges de la Droite prêts
Jonathan ARFI, vous avez raté une occasion rêvée d’assumer avec honneur juif votre statut de Président du CRIF. En effet hier soir dimanche 19 mars à Paris, a eu lieu une soirée en l’honneur du défunt Jacques Kupfer, zal, le dirigeant du Bétar, grande figure du sionisme de France, accessoirement ancien membre du bureau du CRIF. Cinquante-quatre organisations antisémites de soutien à l’ennemi dit “palestinien” avaient menacé et
Par Meïr Ben-Hayoun Souvent, la presse étrangère et israélienne dépeint ce qui s’est passé dernièrement en Israël en termes de “conflit communautaire”. Par conséquent, des personnes de “bonne volonté ” estiment qu’il faut rétablir la “coexistence”. A charge de démontrer pourquoi ces approches sont totalement inappropriées. Il n’y a pas conflit communautaire en l’occurrence comme par exemple en France. En juin 2020, il y a eu des affrontements entre des maghrébins
Beaucoup expriment un soutien “entier” et “républicain” à Malbrunot pour avoir révélé le secret de la rencontre du Président Macron avec le Hezbollah à Beyrouth. Certains comme Charles Meyer dans un article dans Tribune Juive estiment qu’avec cette révélation, Malbrunot défendrait la bonne cause antiterroriste. Qu’en est-il vraiment ? La mémoire courte ou probablement l’ignorance ne sont pas étrangères à cette tendance quelque peu précipitée à se jeter dans les
Par Meïr Ben-Hayoun Comme tous les ans, à Hanouccah, se multiplient les discours avec emphase sur des concepts abstraits comme “diffuser la lumière dans le monde” ou alors “chercher la lumière intérieure”. A force de vouloir intellectualiser, on en perd de vue l’essentiel. On fait appel à des symboliques parfois intéressants, mais souvent très fumeux, décontextualisant et déconnectant de ce que Hanouccah commémore. Sur le site Akadem, cette tendance en